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 Rousse de Anima - « Je t'effleurerais du bout du poignard, j

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Rousse de Anima - « Je t'effleurerais du bout du poignard, j Vide
MessageSujet: Rousse de Anima - « Je t'effleurerais du bout du poignard, j   Rousse de Anima - « Je t'effleurerais du bout du poignard, j EmptyVen 16 Avr - 20:53

Identité


Rousse de Anima - « Je t'effleurerais du bout du poignard, j Sanstitrewv


    ♦️ Nom : « De Anima »
    De l’âme, en grec --

    « Qui as eut l’idée débile de me donner un nom à particule ? Franchement, j’ai l’air d’une cul serrée ? »

    ♦️ Prénom : « Rousse »
    La couleur de ses cheveux, quoi.
    « Et on ne décline pas en surnom, t’es mignon. »

    ♦️ Âge : « 19 ans »

    ♦️ Date d’anniversaire : « 28 Octobre »
    L’automne, l’automne, la splendeur orangée des arbres déclinants, lalalala.

    ♦️ Camp : « Neutre »
    Oui, Rousse n’est pas très regardante quant à ses victimes, et par conséquent, se contrefout royalement de la petite bataille de pouvoirs qui se déchaîne stupidement.
    « Et puis Sund, quel nom de gogo dancer ! »

    ♦️ Occupation : « Mercenaire »
    Rousse tue, tabasse ou travaille sur contrat. Elle coûte cher. Elle ne se fait jamais attraper, et la plupart du temps s’en sort sans une égratignure – elle est passée maître dans l’art de la violence au coin d’une rue. Compte tenu de son activité, elle possède un arsenal d’armements planqué sous ses fringues. Elle accepte toutes les propositions et se fout de bosser pour un Opposant, un Neutre ou un Partisan.
    « Viens voir Roussette, mon mignon ! »

    ♦️ Magie avantagée : « Métal »
    Rousse possède un don étroitement lié aux métaux. Faisant corps avec le fer et l’acier, elle peut, pour une durée extrêmement limitée, métamorphoser n’importe quelle partie de son corps en métal : sa peau prend alors l’éclat argenté de l’acier, ses articulations deviennent férocement puissantes, et les coups qui l’atteignent ne sont pas douloureux. Par exemple, si, en anticipant un coup de poing dans le ventre, elle se concentre, son abdomen se transformera pour quelques secondes en plaque ventrale de métal qui restera fort heureusement insensible aux uppercuts – néanmoins, pas aux coups de poignards et tout ce qui pourrait abîmer un métal.
    Son visage seul ne peut pas muter. Elle peut cibler sans trop de difficultés la partie du corps qui se convertira. Néanmoins, la durée de cette transformation sera toujours très limitée – Rousse ne parvient pas à rester « métallique » plus d’une minute -, et provoquera des douleurs à long terme. Ses articulations souffrent de ses multiples transfigurations, qui amèneront certainement à une arthrose aigue, et son sang, épaissi lors desdites transmutations, pourrait même engendrer des caillots. Rousse n’en a cure. Elle doit faire particulièrement attention lorsqu’elle se concentre sur une partie de son corps : si elle est déconcentrée, elle pourrait métamorphoser également ses organes internes, ce qui lui serait fatal. De plus, même si son pouvoir le lui permettrait si elle avait un meilleur niveau, elle ne parvient pas à le contrôler assez pour pouvoir se couvrir entièrement et simultanément de métal.
    Cette osmose avec l’élément Métal a créée un lien extrêmement puissant avec ses armes, et notamment avec la lame : Rousse contrôle le sabre, l’épée, le poignard, la dague, l’armement en général, avec un brio hors du commun ; elle fait corps avec la violence et les machines de guerre.



Dernière édition par Rousse de Anima le Sam 17 Avr - 18:15, édité 2 fois
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Rousse de Anima - « Je t'effleurerais du bout du poignard, j Vide
MessageSujet: Re: Rousse de Anima - « Je t'effleurerais du bout du poignard, j   Rousse de Anima - « Je t'effleurerais du bout du poignard, j EmptyVen 16 Avr - 23:45

Précisions


    ♦️ Caractère :
    TABOO.
    À la poursuite de Rousse.

    Rappelons néanmoins les règles : « Le but du jeu est de faire deviner un mot ou une expression à ses coéquipiers sans utiliser cinq mots interdits ou tabous. »

    Ier Essai.
    Bravache. Androgyne. Grande Gueule. Violente. Impolie.

    → Garçon Manqué.
    Rousse n’est qu’un gamin dans un corps de jouvencelle, un môme chiant et criard, à la gâchette et à l’insulte facile. Et que je grimpe aux arbres, et que je m’écorche les genoux, et que je tire la langue, que j’aime la boue, l’aventure. Agilité, ferveur, fièvre : Rousse a une dimension extrêmement fanfaronne dans sa façon de se mouvoir et de se comporter, avec la colère sur le pied de guerre, les expressions masculines, les doigts d’honneur et les menaces, et l’honneur outragé de celle qui s’estime au dessus des fillettes et des chochottes. Son rêve de gamine, c’était d’être un mec. Maintenant, elle est entre l’ado revêche, et le chaton famélique et agressif. Hybridique, le gosse.

    IIème Essai.
    Téméraire. Aimante. Pudique. Enthousiaste. Espiègle.


    → Stupidement Passionnée.
    Sous ses dehors extrêmement revêches, Rousse est une pile électrique prête à tout, avec un cœur d’or – du moins, pour deux ou trois personnes -, une loyauté sans pareille, et surtout, une soif de vitesse et de folie qui la fait exister à 200 à l’heure. Rousse n’est qu’une passionnée – et nous rappellerons nos notions philosophiques ; l’âme du passionné est une passoire. Ce n’est pas une qualité – la Passion la rend lunatique, et cette fillette hystérique passe du rire aux larmes, des coups aux caresses, des insultes aux flatteries à la vitesse de la lumière. Elle est sans cesse entrainée ici et là, d’ennuis en emmerdes, d’emmerdes en menaces, de problèmes en ténèbres, sans pour autant s’en préoccuper plus que ça. Elle dépasse.

    IIIème Essai.
    Franche. Agressive. Secrète. Meurtrière. Barbare.


    → Sauvage.
    Si Rousse pouvait s’exiler avec deux ou trois de ses semblables les plus appréciés dans une cabane dans les arbres, et poursuivre sa vie comme un Tarzan des temps modernes, elle n’hésiterait pas une seconde. Elle est tout, sauf civilisée ; elle pourrait même faire honte à quiconque la sortirait au restaurant, ou même au bar – les pochtrons eux-mêmes remarque que la maigrichonne qui vient d’entrer se comporte plus en félin méfiant qu’en jeune pucelle exquise. C’est bien simple : Rousse gueule, injure, frappe, provoque, bastonne, ironise, mais mieux encore : Rousse sait réparer les armes, Rousse sait changer un pneu, Rousse adore bosser dans le cambouis ou se balader sous la pluie. Rousse insulte les nunuches aux cheveux blonds, les fillettes de l’académie, Rousse ne sait absolument pas accorder ses fringues ou coiffer ses cheveux, ne connaît pas la notion de maquillage, et ne jure que par les problèmes résolus en tabassant tout ce qui bouge. C’est le métal qui fait ça. Ou alors, elle est tarée.

    IVème Essai.
    Indépendante. Solitaire. Vénale. Vive. Neutre.


    → Libre.
    Rousse n’appartient à aucun clan, aucun groupe – si ce n’est un trio amical -, et rejette toutes les étiquettes. Elle est une touche-à-tout pétillante, sans répulsion pour les substances illicites, l’alcool et la cigarette, les délits plus ou moins importants – meurtres et vols sont ses lots quotidiens ! - , néanmoins sans indécence, lunatique pathologique échappant la plupart du temps à la mélancolie et la tristesse, et surtout, hors du conflit qui secoue Waterin. Elle n’a pas l’intention de s’enfermer dans un des clans sous prétexte de trouver protection et puissance chez l’un, ou chez l’autre ; elle rit de ces pseudos tyrans, de ces pseudos souverains, et ne demande pas à la situation d’évoluer ; elle s’attache à la chute libre plutôt qu’à un plan bien établi d’une vie dont elle ne voudrait pas.

    Vème Essai.
    Railleuse. Ironique. Injurieuse. Arrogante. Provocatrice.


    → Langue de Vipère !
    Rousse a un sens de la répartie bref et concis, menaçant et corrosif, qui confère à une insolence paroxystique. Venimeuse, grinçante, presque cynique quand il le faut, elle a le répondant facile, affectionnera les 4 vérités jetées à la figure, et cherchera la querelle plus qu’à son tour ; maîtresse de son monde qu’elle est, elle prendra les gens de haut, ces petites gens simplets et étriqués, qui évoluent dans leurs existences comme des poupées de chiffons. Ils lui sont inférieurs, puisqu’elle est la liberté, et qu’elle est le meurtre ; moqueuse, hautaine, désinvolte, elle a tendance à laisser suinter son mépris sous le nez des honnêtes badauds, encouragé le duel, lancer la bagarre, pour s’enfuir, guillerette et nonchalante, engoncée dans son impudence.


    VIème Essai.

    Instable. Esseulée. Orpheline. Jeunette. Faible.


    → Vulnérable.
    Sous la carapace exubérante et métallique qu’elle a forgé de toutes pièces, Rousse s’obstine à enfermer toutes les failles qu’elle conserve en secret. Rousse a besoin des autres – de SES autres, certes, mais des autres tout de même -, pour ne pas étouffer dans une solitude palpable et omniprésente. Sans famille, sans mentors, sans autres relations que ses deux plus proches amis et ses employeurs, elle ne peut pas se vanter d’avoir une vie sociale épanouissante. De plus, si elle n’est pas chochotte sur beaucoup de points, Rousse a une peur bleue des répercussions de son pouvoir ; les douleurs légères qui suivent ses expériences, et le savoir des failles de son contrôle, lui enseignent délicatement qu’elle ne peut user et abuser de ce don qu’elle utilise très régulièrement et dont elle connaît les revers. Mauvaise pioche, l’alliage métal-humain, pas vrai ?

    VIIème Essai.
    Brutalité. Impitoyable. Puissante. Irascibilité. Outrance.


    → Tueuse à Gages.
    N’oublions pas que, sous ses dehors gamins et ravissants, se cache une jeune femme qui tue pour survivre, qui se bat pour tuer, qui prend par surprise avec des mains de fer, et étrangle, égorge, abat. Elle ne considère pas cela comme un crime, puisqu’elle n’est pas l’instigatrice du meurtre, seule la machine de guerre, au même titre qu’une épée innocente ; néanmoins, il faut noter qu’en tuant, elle n’a pas de scrupules, et ensuite, pas de remords. Les meurtres ne sont pas très fréquents, mais bien payés : pourquoi s’en faire dans ce cas ? Elle ne condamne pas les délits, les larcins, et les crimes : Rousse vit sans justice, dans une société sans autres lois que les siennes.

    Dernier Essai.
    Spontanée. Fraîche. Frêle. Souriante. Charismatique.


    → Femme Enfant.
    Rousse est un bébé et une adulte féroce, une fillette pétillante et une guerrière zélée, mais jamais au grand jamais, seulement puérile, ou seulement cruelle. Elle a des facettes extrêmement infantiles, mais elles ajoutent simplement un paradoxe charmant à son charme brutal. Son rire est profondément perlé. Ses expressions sont lumineuses. Son humour a l’étincelle malicieuse des adorables. Rousse est flamboyante et contraire, une fois blanc, une fois noire, mature et immature, agaçante et attendrissante, mais pour le moins attachante. Mystique créature entre l’animal et la demoiselle, elle se définit par l’antinomie et la singularité.


    Bref
    ♥️ Roussette est une Mignonnette !


    ♦️ Physique :
    Jeu de l’Oie
    Nous rattrapons Rousse !

    Rappelons néanmoins la physionomie : « Le jeu de l'oie est un jeu de société de parcours où l'on déplace des pions en fonction des résultats de deux dés. Traditionnellement, le jeu de l'oie comprend 63 cases disposées en spirale enroulée vers l'intérieur et comportant un certain nombre de pièges. »

    On lance les dés…
    3 : Visage.
    Visage fin, étroit, pointu et anguleux : elle a des pommettes hautes, un front élégant, un menton enfantin. Le nez est gracieux et droit, légèrement hautain. Les joues sont un peu trop minces, presque émaciées. Les traits sont graciles et ciselés. La mâchoire est étroite : c’est une physionomie entre la femme-princesse et l’enfant timide.

    7 : Tignasse.
    Ô les lourds et longs cheveux qu’elle possède ! Chevelure de conte de fées et de monts et merveilles : la souple crinière est d’un roux enflammé, couleur de brasier crépitant, mobile et agitée comme un voilage indocile, semée d’épis et de travers, de soudaines ondulations sorties de nulle part, de petits miracles capillaires. Non coupés : ils tombent sur les yeux, sur les épaules, ils sont couverture du corps fragile, ils atteignent ses reins. Épais et soyeux, ils flottent comme un halo autour de sa pâleur. Ils sont un trésor : on n’y touche pas, on ne coupe pas. Sous peine de mort.

    3 : Reculez de 9 cases.
    Yeux.

    Larges et grands yeux félins que les Siens. Ils ont un éclat doux et tendre, léger et expressif, qui donne à son entier physique une fragilité peu commune – néanmoins ils s’enflamment rapidement, s’éclairent et fusillent, deviennent durs et métalliques. Leur teinte est érodée, édulcorée, bucolique : entre le vert tendre et l’ambre, couleur pierre semi-précieuse, ils vacillent. Le doré ou l’émeraude de son œil s’étiole ou transparaît selon ses humeurs. Les cils sont longs et flamboyants, fournis, un éventail en balayette. Les paillettes orangées qui égayent son iris donnent à ses prunelles une dimension de tigron.

    12 : Buste.
    Elle est extrêmement chétive, frêle, gracile, éminemment féminine : comment, on fait l’étonné ? Bien sûr ! Son physique est l’antithèse de sa férocité. Ses épaules sont étroites et anguleuses, pointues et osseuses, ses clavicules sont saillantes, sa gorge est longue et fine, laissant apparaître les empreintes des os de sa trachée. Maigrichonne, elle possède des bras longs et élégants, des mains racées aux doigts ondulés par ses phalanges, des coudes pointus. Son ventre est creux, sa taille est marquée mais étroite. Ses ilions, eux aussi, sont saillants ; ses épaules sont couvertes de tâches de rousseurs très pâles, presque indétectables, et une tâche de naissance en forme de lune, pointillée de tâche de son, orne le coté gauche de son nombril sur plusieurs centimètres.

    2 : Dos.
    Creusé, le dos. Suivant la ligne élégante de sa colonne vertébrale très légèrement apparente, il s’incurve gracieusement sur les reins, marqués par deux fossettes. Jolies fesses – un peu étroites peut-être -, omoplates dessinées sous la peau cristalline.

    8 : Démarche.
    La mobilité de l’oisillon moqueur, du moineau sautillant : maigrichonne et agile, souple et dansotante, la rouquine marche d’un pas élastique, bondissant, rapide, fulgurant. Le dos droit, les sens en éveil, les yeux mobiles, à l’affût, lui confèrent son aura animale ; ses gestes graciles et vifs, habiles et courbés, ajoutent de l’humanité genre danseuse étoile à son image. Une fille néanmoins : elle roule très légèrement des hanches, sans même y faire attention, assez pour que son buste suive une cadence hypnotique, et que son corps se meuve en une chorégraphie obsédante. Elle a le saut et la course facile. Elle vole et glisse.

    5 : Retour à la case départ.
    Peau.

    Chair diaphane : c’est en admirant sa peau que l’on verra en transparence le bleuté profondément délicat de ses veines, le rose thé de ses émotions. Elle rougit très vite, de façon profondément humiliante, et profondément ridicule : les joues s’enflamment, puis le front, le cou, et les épaules, dans les moments de paroxystique humiliation, se teinte de rubicond. Elle est pâle et rosée, avec une carnation soyeuse et uniforme. Le grain est délicat. L’épiderme est féminin. Enfin, sauf les genoux, qui sont simplement… écorchés !

    5 : Bouche.
    Pas de bouche en cœur, pas de bouche pulpeuse, pas de bouche érotique pour elle. Ses lèvres sont fines et minutieusement sculptées, d’un rose pèche agréable. Comme dessinées au fusain, elles sont tendrement courbées sur l’inférieure, gracieusement esquissées sur la supérieure : les deux pointes de la bouche, légèrement arrondies, redescendent en courbe légère. Ses dents sont carrées et petites, ses canines sont étonnamment affûtées : la doucette a une bouche de chaton. Son sourire à le charme des fillettes : spontané, secret, avide, blanc et rieur, il est néanmoins étroit. Bouche mobile, néanmoins : la grimace y est récurrente.

    3 : Nez.
    Gracile, fin, très légèrement retroussé. Quelques tâches de rousseur éparses se perdent sur son museau.

    Pause café.

    « Tu vas arrêter d’insister sur le côté animal maigrichon ? On dirais que tu fais l’inventaire de la SPA, bordel. »
    « Oui mais c’est mignon ♥️ »

    « C’qui va être mignon c’est mon poing dans ta gueule. »

    « … »


    10 : Poitrine.
    Le pauvre Ange n’est pas particulièrement bien pourvue de ce côté là. Si nous comptons en terrien, elle atteint difficilement le bonnet B, et l’étroitesse de son buste met encore en valeur cet appât peu développé. Bref, l’adorable est une planche à pain. Oui oui.

    4 : Jambes.
    Ses jambes ne sont pas très épaisses, évidemment, mais elles ont néanmoins pour elles le galbe élégant des jeunes filles actives. Ses mollets sont fuselés, ses cuisses sont fines et gracieuses, musclées et racées. Bien que pâles, elles sont un peu moins translucides que le reste du corps, car elles prennent volontiers le soleil. Les chevilles sont profondément féminines, dessinées en courbures délicieuses. Ses pieds sont petits et étroits, avec des orteils qui ont tendance à gigoter dans leurs chaussures.

    8 : Puits. Passez un tour.

    6 : Allure.
    Elle dégage d’abord une impression de fragilité exquise, celle des enfants vulnérables ; néanmoins cette impression a tôt fait de disparaître, évidemment. Elle parle fort, gigote, insulte, attaque ; ses expressions toutes entières se métamorphosent avec ses gestes, elle devient virulent, elle foudroie du regard, plisse la bouche, fronce le nez, menace d’une main pliée en poing rageur : non, décidément, la fragilité n’est pas de mise. Elle possède néanmoins une véritable aura de charme, et, si elle n’est pas belle, elle reste attirante. Elle se tient très droite, mais elle a la bougeotte, si bien qu’elle donne mal au crâne à tout être appréciant le calme.

    2 : Voix.
    Légère, musicale, pétillante.

    10 : Vêtements.
    Elle porte rarement des fanfreluches, des robes à jupons, des nœuds dans les cheveux, des bandeaux élégants : de fait, ce serait même un lourd sacrifice de se déguiser de la sorte. Peut-être, pour un bal costumé. A la limite.
    Elle porte plus volontiers des haillons jeans-aires, des shorts ou des pantalons étroits, mais néanmoins colorés ; elle a un certain sens de l’harmonie, au niveau des teintes. Quant aux hauts, elle préférera toujours le confort à la grâce vestimentaire : sweat, pulls, t-shirts un peu amples. Parfois, l’été, elle porte des robes souples et légères, sans motifs, qui volettent sur ses formes comme de doux voilages. Elle préfère la subtilité à l’élégance clinquante. Elle affectionne particulièrement les écharpes et les foulards, mais déteste les bijoux : elle ne s’ornera jamais de breloques, si ce n’est d’étranges bijoux de cheveux, comme des plumes, des perles, ou encore des filins.
    Pour les cheveux, elle les laisse libres ou les attache en tresse. Pas de fausse exubérance. Pour ses chaussures, elle affectionne également le sobre.

    4 : Particularités.
    Le croissant de lune de tâches de rousseur près de son nombril est la seule marque naturelle qui souille la blancheur délicieuse de sa peau.
    Pour l’artificiel, suite à une néfaste expérience quant à son don, elle garde une petite parcelle de peau, sur cinq ou six centimètres, à la jointure de la cuisse et ventre, un peu en dessous de l’élastique de la culotte traditionnelle, qui ne mue plus : elle reste métallique. Elle forme une courbe en zigzag inattendue.

    3 : ARRIVÉE.
    Elle est Rousse.

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Rousse de Anima - « Je t'effleurerais du bout du poignard, j Vide
MessageSujet: Re: Rousse de Anima - « Je t'effleurerais du bout du poignard, j   Rousse de Anima - « Je t'effleurerais du bout du poignard, j EmptySam 17 Avr - 11:19

Histoire


    ♦️ Origines :
    Rousse est née à Waterin. Du moins, c’est ce qu’on croit.

    ♦️ Position :

    R
    ousse est…
    « Bon, allez, arrête de causer, Pipelette. MOI, je vais leur expliquer ma position, à ces intimistes voyeurs. Vous voulez tout savoir ? Facile ! Je suis neutre. De toute façon, je bute ceux qu’on me demande, tous clans confondus : comment voulez-vous que je me range auprès d’une des deux midinettes qui nous servent de Rebelle-en-chef (Tapette-en-chef, ouais) ou de Tyran ? Cette querelle me semble plus débile qu’intéressante. Ils s’enferment tous, organisés par étiquette, avec hiérarchie et tout le tralalah ; vraiment pas mon genre. Je risquerais de bouffer le visage de Sund au premier ordre donné. (C’est que, l’autorité, c’est pas ma tasse de thé…). Quant à Jewel… Bon, au moins, il est mignon, je veux dire physiquement. Le pauvre amour. Sur une autre île, il aurait pu faire pop-star. On choisit pas sa ville natale, hein.
    Non… en fait, le seul point positif, c’est vraiment les duels de rue et l’air de loubard des Partisans. Tous ces dingues, ça met l’ambiance ♥️ »


    Merci, Rousse, pour cette merveilleuse intervention…

    ♦️ Histoire :

    Rousse de Anima - « Je t'effleurerais du bout du poignard, j 9k6neo

    En fait, on ne sait pas grand chose. On n’a pas connu Rousse petite. On a pas connu Rousse tout court. Ce n’est pas qu’elle ait souffert, qu’elle ait été traumatisée ou qu’elle soit renfermée, non ; la mignonne n’en sait pas plus que les autres. Un jour de beau temps, égayé de soleil et de parfums fleuris, un jour délicieux où les odeurs des arbres avaient ce goût vert et tendre, où la chaleur humidifiait délicatement les front des badauds, une gamine de douze ans était sortie de la forêt en haillons souillés, les poings sur les hanches, les cheveux aux fesses et piqués de brindilles, la jupette maculée de boue. Les passants optimistes et roucoulants – que voulez-vous, les endroits bucoliques sont toujours prisés des amoureux – avaient ouverts de grands yeux éberlués ; et la gosse, les sourcils froncés, s’était mise à beugler avec l’élégance du porcelet qu’on égorge. Son cri désarticulé avait résonné sous la cime des arbres et entre les rayons du soleil printanier, sans qu’il ne s’arrête une seule fois, sans qu’elle essaie de reprendre son souffle – et elle hurlait à perdre haleine, en apnée totale, à l’instar d’un sale cabot en danger – et non pas d’une humaine exquise.

    Une grosse dame joufflue s’était enfin bougée les fesses pour rejoindre l’enfant colérique, qui gardait la bouche ouverte sur son hurlement, les yeux biens fermés, le menton en l’air ; elle prit la petite menotte maigrichonne et terreuse, secoua légèrement le poignet récalcitrant, et lui susurra des mots d’amour capable de calmer n’importe quel bambin un peu capricieux – en promettant monts et merveilles, poupées, bonbons, cookies, pour que l’infâme petite chose ferme enfin son clapet.
    Rousse ouvrit ses yeux immenses – son visage était plus exigu et plus maigre encore que maintenant, et seuls ses prunelles semblaient démesurées -, clotura fort heureusement sa bruyante petite bouche, plissa les lèvres, et foudroya d’un regard mauvais la grosse dame en rose. D’un mouvement vif, elle échappa à l’étreinte délicate de la passante bien intentionnée, puis, rouvrant l’infernale museau qui lui servait de bec, elle fondit sur sa victime et referma violemment la mâchoire sur son avant bras. Ses dents animales déchirèrent la surface de l’épiderme dodu, et la dame se mit en hurler en gigotant le bras, en appelant au secours, en jurant ses grands dieux au scandale, ect.

    Après ça, on avait cru que Rousse-l’enfant-des-bois avait la rage, alors on avait déserté. Elle avait fait le chemin à pied, et toute seule. Pour semer la terreur dans la ville, évidemment.

    -

    Rousse avait apparemment vécu dans les bois toute sa vie, au vue de ses qualités d’acrobates et de grimpage intempestif, ses soudaines pulsions animales, et son appétit affreusement développé ; c’est ce que s’était dit Fidel lorsqu’elle avait accueillie cette sauvageonne entre chien et enfant chez elle. Elle n’habitait pas dans les quartiers résidentiels, mais en lisière de la ville, et elle était assez effrayante – en fait, on disait d’elle chez les mômes qu’elle était une méchante sorcière, et que son pouvoir lui permettait de tuer les enfants pour s’adonner à un cannibalisme guilleret dans le fond de son jardin. Par conséquent, c’était la première habitation qu’avait accosté Rousse ; la gamine n’avait pas été particulièrement choquée par le physique de son aubergiste de fortune, et se remit à hurler jusqu’à ce qu’on lui mit un biscuit dans le bec. Ô silence béni.

    Fidel de Anima n’était plus toute jeune lorsqu’elle adopta officieusement Rousse ; elle était déjà voûtée, et son énorme chignon grisâtre se teintait de longues mèches d’un blanc éclatant. Elle avait un visage très dur, anguleux, aux traits accusés, avec le menton en galoche et la bouche attrayante ; ses gestes étaient lents, ses jambes arquées ; elle vivait seule. De fait, Roussette était un ravissement pour elle. Elle lui enfonça nombre de gâteaux au gingembre dans le gosier avant de se rendre compte que la minuscule brailleuse ne savait pas un mot, ne connaissait ni alphabet, ni lettres, et encore moins le mot « lecture », et que ses aptitudes se résumaient à peu près aux vocalises et au vol à l’étalage. Elle détestait prendre des bains – et dieu sait combien Fidel frottait la gamine dans sa bassine pour faire partir les tâches qui maculaient le corps pâles -, détestait aller se coucher tôt, détestait avoir une chambre, détestait les légumes, détestait même l’idée qu’on puisse la maintenir à l’intérieur pour lui apprendre un minimum langagier.

    Tout d’abord, un prénom : on ne se foule pas. Elle est rousse ? Eh bien elle s’appellera Rousse ! pour ses cheveux, beaucoup trop longs et abîmés, Fidel les coupa aux omoplates – les hurlements engendrés, les violences et les brusqueries entrainées, la dissuadèrent de renouveler l’expérience. Pendant près d’un an, Fidel obligea Rousse a rester dans la maison plusieurs heures de suite pour apprendre les rudiments du langage civilisé et de la lecture, et comme la discrétion n’était pas le fort de la fillette, elle ne parvint jamais, au grand jamais, à échapper à la séance de torture. Fidel avait un don lié à la terre, celui de faire pousser les plantes qu’elle désirait, en quantité voulue, et de forme indépendante ; combien de fois la sale gamine se trouva enchainée dans une soudaine cordelette de rosiers, sortie de nulle part et foutrement piquante ! Malgré sa violence naturelle, elle n’était pas friande des griffures végétales, et arrêta assez rapidement d’essayer de fuir la séance scolaire quotidienne.

    Après un an à ce rythme, Rousse savait s’exprimer convenablement, mais n’était toujours pas une mordue de l’orthographe ; la digne inculte n’a d’ailleurs jamais apprécier l’apprentissage intellectuel. Certes, elle lisait ce que lui proposait Fidel, mais sans goût pour la lecture. Ses affinités se tournaient irrémédiablement vers les armes, les acrobaties, et les courses échevelées à travers la ville.

    Et elle aimait sincèrement Fidel. Comme une mère, peut-être – puisqu’elle n’avait aucun souvenir de la sienne, et que ce genre d’amnésie primitive lui passait carrément au –dessus de la tête…

    Elle allait faire les courses pour Fidel, en courant, et en chipant deux ou trois au passage, la plupart du temps ; elle était détestée de tous les garçons de la ville, parce qu’elle leur pétait les dents dès qu’ils l’insultaient, et qu’en plus ils ne parvenaient même pas à se défendre noblement. Elle revenait à la chaumière, récitait ses leçons avec quelques cafouillages, et z’yeutait les couteaux sur le plan de travail avec avidité. C’est à cette époque là qu’elle a compris, en mots définis, qu’elle avait une affinité profonde avec les métaux. Et puis ensuite s’étaient ensuivis les jonglements suicidaires avec les couteaux de cuisine, les batailles menées seule à la pointe du sabre trouvé dans le grenier, une soudaine et fulgurante joute d’armements. Rousse avait pris conscience, a treize ans, de sa force féroce de combattante, et de ses dons métalliques. Elle avait combattu avec passoires et couteaux à bouts ronds, contre l’imaginaire. Fidel s’en était inquiété, l’avait baffé, sanctionné, avait hurlé, mais rien n’y avait fait : Rousse était aimantée par le fer. Alors, Fidel avait pris conscience – peut-être même avant Rousse – que l’élément de la gamine devait être cette sorte de folie métallique, d’avidité armataire. Soit.

    Fidel avait toujours encouragé les exercices qui avaient envahis le quotidien de Rousse pendant l’année de ses treize ans. Elle avait continué les cours de grammaire, de littérature, et lui avait même enseigné sur ardoise les mathématiques et la biologie. La gamine n’était pas brillante, mais, avec la pratique, elle comprenait vite et assimilait bien. Elle s’avérait extrêmement bonne au combat, comme elle le remarqua lorsqu’elle envoya Roussette chez un ermite un peu dingue qui habitait non loin de là, et qui avait chez lui une collection effarante de machines de guerre : rapière, cataphracte, dagues et poignards, épée, sabre, glaive, cimeterre, ect. Mais elle lui faisait confiance – ils avaient été dans leur jeunesse deux amoureux guillerets, aussi permettait-elle au revêche bonhomme de considérer la sauvageonne comme sa petite-fille.

    Tous deux s’étaient profondément attachés à la mauvaise humeur chronique, au franc parler, à la tendresse soudaine et à la passion nocive de Rousse. Et elle donc ! Fidel avait été mère, mentor, professeur, et grand-mère tout à la fois. Avec les clashs et les gâteries qui accompagnaient toujours ces relations fusionnelles.

    Le seul incident proprement choquant qui avait souillé cette période paisible de sa vie, pendant les deux ans qu’elle passa avec Fidel et Nikita le maître d’arme, fut l’exercice raté qui laissa sur elle sa marque de métal. Elle s’était entrainé pendant trois longs mois avec Nikita, pour parvenir à un résultat bluffant : à 13 ans et demi, alors qu’elle avait découvert les attraits et les atouts de son don avec Fidel depuis 6 mois, elle pouvait gainer toutes ses jambes, ses pieds, jusqu’à son aine, de métal, pendant plus de trente secondes, en se concentrant très fort. Elle ne parvenait pas encore à métamorphoser son buste, même à titre esseulé ; mais ce triomphe jambier l’excitait profondément, et elle était prête à se donner en spectacle devant Fidel et Nikita pour montrer ses progrès. Le maître d’arme avait invité la vieille dame derrière sa maison, pour que Rousse se mette en scène et donne la preuve de ses avancées ; elle fera une démonstration de ses talents de combattante, talents qu’elle avait acquis grâce aux conseils de Nikita, puis montrerait son chef d’œuvre métallique.

    Mais, si elle parvint à changer le bas de son corps en belle silhouette d’acier, le reste ne se passa pas comme prévu ; et sous les yeux éberlués de Fidel et Nikita, elle se tordit soudain de douleur, incapable de muter de nouveau, et d’effacer ce métal de ses membres. Une intense terreur déchira ses entrailles, alors qu’elle pleurait, incapable de marcher sur ces gambettes argentées, et la panique rigidifiait encore. Elle resta prostrée, dans son lit et dans la panique, pendant plusieurs jours, le bas du corps moulé dans le métal ; fort heureusement, le deuxième soir, alors qu’elle s’était enfin endormie et détendue, le métal régressa. Dix heures plus tard, elle avait les mollets et les genoux libres ; le lendemain, elle était libre, en dehors de cette petite tâche inaltérable de métal au dessus de sa hanche. Fidel ne parvint pas à la résorber.

    Rousse, jusqu’à ses quatorze ans, ne vécut pas de malheurs ; si elle était orpheline, elle s’en fichait, car elle n’avait aucune ombre de souvenir pour ses parents ; elle s’était fortement attachée à Fidel et Nikita. Mais, au quatrième mois de ses quatorze ans survint le premier drame. Drame hystérique, qui la laissa éplorée et frénétique. Nikita, neutre et pacifique, voulu, dans les rues de Waterin, s’interposer dans une bagarre vulgaire entre un Partisan et un Opposant ; on l’avait réduit en pièces en peu de temps. Une haine sans précédent s’étiola en Rousse ; elle eut ses premières envies de meurtre.

    A l’orée de ses quinze ans, Fidel tomba malade ; Rousse la veilla jour et nuit, dans l’exigüe chambre de son aïeule ; tendre infirmière, elle accédait à tous ses désirs ; mais Fidel s’éteignait lentement, en silence, et sa souffrance redessinait ses traits. Puis, un soir, elle se laissa emporter. Sans souffrir plus, et sans un son, en fermant sobrement les yeux, avec la pudeur qui la caractérisait ; quelque chose se brisa en Rousse. Elle était seule, dorénavant. Seule et indépendante. Et en l’honneur de son mentor, elle se nomma Rousse de Anima, et perdit les précieux vestiges de son enfance.

    -

    Entre ses 15 et 19 ans, Rousse sombra dans une débauche hors du commun (substances illicites et tout le tralala), et se fut là qu’elle rencontra Eres, et peu après, Jezebel. Ne nous étalons pas sur leurs relations : sachez seulement que celle avec le voleur sont plus que conflictuelles, et que Jez’ est bien le seul être vivant qu’elle aime à complimenter ; néanmoins, leurs délinquances multiples se tarirent avec le goût de l’aventure glauque, et ils revinrent dans le « droit » chemin – perpétuant toujours leurs divers méfaits, mais à moindre mesure et avec plus de décence. Maintenant, ils sont toujours son bras gauche, et son bras droit. Ses privés, ses personnels, ses « autres » adorés. Elle en est là.


    comment ça j'ai bâclé ? Hm... Peut-être un peeeeu !




Dernière édition par Rousse de Anima le Sam 17 Avr - 17:42, édité 2 fois
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Misaki Kurohana

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MessageSujet: Re: Rousse de Anima - « Je t'effleurerais du bout du poignard, j   Rousse de Anima - « Je t'effleurerais du bout du poignard, j EmptySam 17 Avr - 15:39

Bon, bon, bon !
Elle me fait bien rire ta sauvageonne !

Par contre, il y a un truc qui me plait pas des masses.
Pour une fois, je n'ai rien à dire sur un pouvoir, ce dont je suis ravie.
Non, ce qui me pose plus de problème, c'est le métier.
Ouais, parce que bon, on a assez de Sund et de sa bande de demeurés. Si tout le monde tue tout le monde, avec les exécutions et tout le tralala...
>o<
Non pas que ce soit interdit, mais ça ne m'arrange pas des masses.
Je peux te proposer Mercenaire, si tu veux, un peu au même titre que Damon qui est garde du corps.
Métier bien plus utile pour l'une des intrigues, en plus.
^^

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MessageSujet: Re: Rousse de Anima - « Je t'effleurerais du bout du poignard, j   Rousse de Anima - « Je t'effleurerais du bout du poignard, j EmptySam 17 Avr - 17:43

Mercenaire ? Mais ce n'est pas tuer sur commande, ça ? Parce que Rousse tue seulement si on lui donne un bon gros pactole et si on lui demande, tu sais ! sinon elle se contente de voler dans les poches des bourgeois. Ce serait quoi, exactement, ce que tu veux dire par "mercenaire" ?
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MessageSujet: Re: Rousse de Anima - « Je t'effleurerais du bout du poignard, j   Rousse de Anima - « Je t'effleurerais du bout du poignard, j EmptySam 17 Avr - 18:01

Bah,
les seules véritables personnes dont les armes soient le métier, en dehors de l'Armée, quoi. Même principe que les tueurs à gage, sauf qu'ils ne tuent pas vraiment les gens, eux. Escortes, pas mal de petits boulots au port et pour les marchands, on peut les embaucher pour tout et n'importe quoi, après, c'est à eux de décider sur le métier est digne d'eux ou pas.
Puis, c'est en général le genre de personnage qui foutent bien le bordel =)

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MessageSujet: Re: Rousse de Anima - « Je t'effleurerais du bout du poignard, j   Rousse de Anima - « Je t'effleurerais du bout du poignard, j EmptySam 17 Avr - 18:14

Trèèès bien alors... si ça t'arrange, je veux bien ! Mais il lui est arrivé une ou deux fois de tuer ou de tabasser pour de l'argent, alors... ça te gêne pas? Very Happy
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MessageSujet: Re: Rousse de Anima - « Je t'effleurerais du bout du poignard, j   Rousse de Anima - « Je t'effleurerais du bout du poignard, j EmptySam 17 Avr - 18:23

Nope !

Validée !

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MessageSujet: Re: Rousse de Anima - « Je t'effleurerais du bout du poignard, j   Rousse de Anima - « Je t'effleurerais du bout du poignard, j Empty

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